Béatrice se réveille en sursaut. Quatre individus ont pénétré dans sa chambre. Elle reconnait son mari et ses trois amis. Les quatre compères lui apprennent que Maxime, son mari, a perdu gros ce soir, et qu’elle peut le sauver, si elle accepte de leur servir de mise. Béatrice va-t-elle accepter de s’offrir aux amis de son mari ? Extrait : – Ma petite Béa, tu es au courant que nous jouons au poker tous les jeudis. – Oui, vu que vous squattez ma salle à manger. – Eh bien, figure-toi, que ton mari vient de perdre gros ce soir. Pour rester dans la partie, il nous propose de te miser. – De me quoi ? – De te miser. – J’avais compris, mais cela veut dire quoi, ce charabia ? – Cela veut dire qu’il n’a plus d’argent pour continuer à jouer, et que pour se refaire, il t’offre à nous. Autrement dit, s’il gagne, il rafle le pactole. – Et s’il perd, demandé-je, avec méfiance ? – Tu seras à nous pour le reste de la nuit. Il me regarde d’un air qui ne laisse place à aucune équivoque. Ce récit contient des scènes de sexe destiné à un public averti et majeur