S’il suffisait de prendre un peu de recul pour voir que le bonheur est à portée de main ? Après une rupture, Zoey saute sur l’occasion d’aller enseigner un an aux États-Unis. Sur place, elle revoit Lorenzo, le futur beau-frère de sa sœur, grâce à qui elle a eu le poste. Un nouveau départ idéal, si ce beau latino n’arrêtait pas de la taquiner. Loin d’être impassible face au charme de cet homme, Zoey hésite. Entre tendresse et provocation, Lorenzo met tout en œuvre pour séduire Zoey. La jeune femme tombera-t-elle dans cette douce attirance ? ___ Information : Ce roman regroupe les deux tomes de Douce Attirance : Lui succomber & L'aimer. ___ Extrait : — Tu le trouves comment, Lorenzo ? demande-t-elle malicieusement. — C’est-à-dire ? — Oh, ne joue pas les innocentes… Il te plaît, avoue ! Je t’ai vue le regarder à plusieurs reprises et je suis persuadée qu’en entrant tes yeux le cherchaient dans la foule, je me trompe ? Bon, je ne dirais pas que c’est la première chose que j’ai faite, mais il est vrai que j’ai tenté de voir où il se trouvait. Cela ne veut pas dire qu’il me plaît plus qu’un autre… Pour être honnête, il ne me laisse pas indifférente du tout. Je décide de temporiser. — Il n’est pas vilain à regarder. — Pas vilain ? Si je ne le connaissais pas depuis des années et que je ne le considérais pas comme un frère, il ne dormirait pas dans la baignoire. Lorenzo est canon ! s’écrie Amanda. Je me marre, puis lui réponds : — Bon d’accord... Lorenzo me plaît ! T’es contente ? — Salut les filles, intervient une voix familière derrière moi. Je me fige, mon cœur aussi, avant de battre de plus belle. Faites qu’il n’ait pas entendu ma dernière phrase. Je ferme les yeux, sans me retourner, puis les rouvre et cherche de l’aide envers mes amies qui rient sous cape. Et là, je percute. Amanda savait que Lorenzo venait dans notre direction, elle l’avait dans le viseur. Je l’assassine du regard, elle me répond d’un air faussement innocent. Je me retourne lentement pour saluer Lorenzo. La lueur espiègle qui traverse ses iris ne m’échappe pas. Il a bel et bien entendu ce que je pense de lui. Je déglutis. — J’ai bien fait de venir ce soir, j’en apprends des choses quand tu penses que je ne suis pas dans les parages…