On pourrait croire que le mariage serait synonyme d’apaisement pour Leland, mais ses prochaines magouilles ne sont jamais loin ! Leland Quand j’étais petit, on m’a appris que devenir trop proche de quelqu’un causerait ma perte. Mais j’ai prouvé le contraire grâce à mon mariage avec Jackson, l’homme le plus génial au monde. Le problème, c’est que les ennuis finissent toujours par me rattraper (hé, c’est pas ma faute !), cette fois sous les traits d’une femme qui cherche sa fille. Ce qui commence comme un cas banal de disparition tourne rapidement au vinaigre, me forçant à me reposer sur ma famille de cœur, dont un « bear » musclé qui n’a absolument aucune chance de me piquer mon mari avec son accent sexy et agaçant... Bien sûr que je suis à cent pour cent concentré sur cette affaire, pas la peine de me regarder comme ça, Jackson ! Jackson Pendant que Leland déclenche le code patate (quoi que ça veuille dire dans son esprit tordu), j’en suis réduit à me demander dans quoi il s’est encore fourré. Au moins, il me laisse l’aider, même s’il insiste pour dire que je n’ai qu’à « rester tranquillement assis » et le laisser s’occuper du reste. Mais avec la disparition de cette fille, il sait qu’on doit travailler ensemble pour découvrir à qui on a affaire, parce que les apparences sont trompeuses. Bon, en même temps, avec Leland, on a toujours des surprises. Mais je crois que c’est ça qui me plaît. Ce roman contient : beaucoup trop de voyages dans des escaliers avec des objets pointus dans les mains, des cookies censés faire rire, mais qui ne fonctionnent pas comme prévu, de l’espagnol qui n’en est absolument pas, et des tas de braves gens résignés, qui se retrouvent mêlés aux manigances de Leland. Encore une fois.