Existerait-t-il, caché quelque part sur Terre, un artefact technologique envoyé par une civilisation non-terrestre, et qui permettrait d’établir un contact ? C’est en tout cas l’hypothèse que soutient Alice, chercheuse en astrophysique qui n’a pas peur de poser des questions peu conventionnelles. Et quand elle lève le nez vers le ciel nocturne, ce ne sont pas les questions qui lui manquent. Munie seulement de sa joie de vivre, d’une curiosité sans bornes et d’une solide dose d’obstination, elle se trouve propulsée dans une situation unique dans l’histoire de l’humanité. Mais quand les étoiles elles-même ont envie de parler, il est difficile de ne pas leur répondre. Un peu après l'horizon est le premier volume des aventures d'Alice et de ses amis, dans la série intitulée La fille qui parlait aux étoiles. Ce premier tome pose les bases de cet univers imaginaire qui a pour vocation, sinon d'être réaliste, du moins de respecter les lois de la physique telles que nous les connaissons. Mais après tout, qu'est-ce que la réalité, si ce n'est une construction de l'esprit ? Le développement de cette série, entre science-fiction et fantasy, est le fruit d'un (très) long processus de maturation. Il aura duré près de trois décennies, au cours desquelles auront été franchis les jalons de l'école d'ingénieurs, puis du doctorat en physique, et enfin une multitude de contrats de recherche dans divers laboratoires travaillant sur des sujets variés dont, notamment, la planétologie et l'astrophysique. La seule inconnue dans cette histoire, c'est jusqu'où ira Alice, et combien de tomes seront nécessaires pour raconter son histoire.