21ème ENQUÊTE DU COMMISSAIRE VÉTOLDI Dimanche 6 octobre, le commissaire prépare ses vacances en Aubrac. Il consulte le journal local. QUOI ! QUE LIT-IL SUR LA PAGE DE LAGUIOLE ? Chapelle Sainte-Thérèse, le 13 octobre à 17 heures : Célébration d’une cérémonie en mémoire d’Amalia et d’André Dubourdin, jour anniversaire de leur assassinat, il y a 4 ans. Le journaliste a ajouté : Le meurtrier des Dubourdin court toujours. Un étranger les aurait tués pour s’emparer de leurs économies… Le 12 octobre, arrivé à Laguiole, le commissaire Vétoldi tente d’allier ses vacances et son intérêt pour cette affaire criminelle non résolue. Il rencontre les proches des victimes et bientôt il plonge au cœur de l’enquête. Les Dubourdin étaient éleveurs bovins, leurs deux fils ont pris leur suite à la ferme des Murets. Pourtant, tout les oppose. L’un considère le respect de la tradition comme la meilleure garantie de la qualité, l’autre est persuadé que l’informatique est un outil précieux pour rentabiliser un élevage. Le commissaire Vétoldi n’a que six jours pour mener son enquête. En outre, il se heurte au refus du commandant de gendarmerie de lui apporter son soutien. Selon lui, l’enquête a été bien menée et il ne sert à rien de relancer les recherches. Malgré cette opposition frontale, le commissaire recourt à sa méthode, il explore la vie des victimes. Très impliqués dans l’essor de la culture occitane, les époux Dubourdin profitaient de leur retraite. Membres du groupe folklorique laguiolais, ils adoraient danser et faire la fête. Ils fréquentaient aussi beaucoup Le Bouyssou, la station de ski de Laguiole où leur caravane suscitait la convoitise de leurs amis campeurs. Heureusement pour lui, le hasard met sur sa route une psychanalyste qui connait bien la nature humaine. Elle l’éclaire sur la personnalité des suspects.