« Tu as le droit de garder le silence. Tout ce que tu diras ou feras pourra être utilisé contre toi et servir de base de punition. Tu as le droit de m’appeler Maître – et seulement Maître – jusqu’à nouvel ordre. Tu as le droit de faire ce qu’on te dit quand on te le dit ou d’en endurer les conséquences. Tu n’as pas le droit de jouir, sauf si je te donne la permission. Comprends-tu tes droits dans la présente affaire ? » J’avale ma salive. « Oui, Maître. — Je vais défaire les menottes et ouvrir la fermeture éclair de ta robe. Tu dois enlever tous tes vêtements. — Pourquoi ? — Parce que je te l’ai dit. — Je veux une femme officier. — Il n’y en a pas de disponible. Tu devras te contenter de moi. » Il défait les menottes et doucement descend ma fermeture éclair, laissant ses doigts glisser le long de ma colonne vertébrale jusqu’à ce que la fermeture atteigne le bas de mon dos. J’ai soudain la chair de poule de la tête aux pieds et je tremble violemment.