Quand, en 1913, ses deux enfants meurent à Paris dans un accident, Isadora Duncan est au sommet de sa carrière. Elle est mondialement connue, aussi bien comme celle qui a su révolutionner la danse classique que pour ses frasques amoureuses.
Ce roman est le récit des mois d’errance européenne d’Isadora et de ses proches après l’accident, de sa quête artistique et personnelle pour se réinventer. Isadora parvient avec panache à rendre justice à sa puissance et à sa liberté, à sa cruauté aussi, et brosse le portrait vibrant d’une femme dont la créativité irradie au-delà de toutes les conventions sociales, même aux heures les plus sombres de son histoire. Isadora est un incroyable roman sur le deuil, mais aussi sur la liberté et les joies et les peines de la création artistique.