2050, seules les villes, où tout est aseptisé, sont encore habitables. L’homme a totalement détruit la nature. Il se sert désormais des campagnes pour entreposer ses déchets toxiques et parvient à couvrir ses énormes besoins en électricité par le biais de champs infinis d’éoliennes. Au cœur de ce néant sans relief ni saveur, une poignée d’irréductibles a réussi à vivre en conservant un mode de vie à l’ancienne, sur les Pentes, en Auvergne. Ils sont désormais les seuls à être capables d’enfanter.