Pour la première fois depuis la publication de J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir, Christine Arnothy parle d’elle-même. De son enfance hongroise, des années qui ont précédé le siège de Budapest, de cette autre part de sa vie dont elle n’a jamais voulu parler. Autobiographie pleine de tendresse, d’humour, de chagrin et d’espoir: la confrontation d’un écrivain, qui croyait ne » se sentir à l’aise que dans ses romans « , et de sa vérité profonde, évoquée avec autant de lucidité que de pudeur.